Faites confiance au meilleur pour l'installation de votre poêle à pellets

Le poêle à pellets, c’est la version moderne du feu de bois : il s’allume tout seul, garde une

température stable et se programme facilement. Il a simplement besoin d’une prise électrique et de peu d'entretien quotidien pour fonctionner.

Le poêle à bois, lui, mise sur la simplicité pure : pas d’électricité, juste du bois sec et une belle

flamme naturelle. Il continue même à chauffer pendant une panne de courant.

🔥En résumé : pellets = confort et autonomie, bois = authenticité et indépendance.

Oui, à condition de bien le dimensionner et de l’installer au bon endroit.

Certains de nos modèles sont canalisables, ce qui permet de diffuser la chaleur dans plusieurs

pièces via des conduits discrets. D'autres modèles sont "hydro" et permettent d'aliment un circuit de chauffage central en eau chaude.

C’est une véritable alternative au chauffage central, avec (presque) tout le confort et le charme du feu de bois.

Tout dépend de l'habitation et de son niveau d’isolation. En Belgique, la plupart des maisons ont

un PEB entre C et D, donc il faut un poêle un peu plus puissant que dans une construction récente.

🏠 Maison bien isolée (PEB A-B) → comptez environ 1 kW pour 10 à 12 m².

🏠 Maison standard (PEB C-D) → environ 1 kW pour 8 à 10 m².

🏠 Maison ancienne ou peu isolée (PEB E-F) → jusqu’à 1 kW pour 5 à 7 m².

L’idéal est de faire un calcul avec nos conseillers : ils tiennent compte du volume réel, de la hauteur

sous plafond et de la disposition des pièces pour vous orienter vers la puissance la plus adaptée.

Un poêle bien dimensionné, c’est plus de confort et moins de consommation.

Oui, c’est essentiel.

Un petit nettoyage régulier (cendres, vitre, chambre de combustion) et un entretien annuel

professionnel garantissent la sécurité, la performance et la longévité du poêle.

Un poêle bien entretenu, c’est jusqu’à 20 % de rendement en plus et une durée de vie prolongée.

🔥Chez Mister Pellets, le prix d'un entretien (ramonage compris) est de 149€ ttc.

C’est souvent dû à des pellets trop humides ou à une aération insuffisante.

Si le poêle tourne trop souvent à faible puissance, la flamme manque d’oxygène et la suie se

dépose sur la vitre.

Rien de grave : utilisez des pellets certifiés (ENplus A1) et laissez le poêle tourner à pleine puissance

de temps en temps.

🔥Conseil bonus : Dés l'installation utilisez un pinceau ultra doux pour nettoyer la vitre afin de ne pas la rayer. Pas de produit, juste un pinceau. MAGIQUE

En moyenne, entre 0,5 et 1,5 kg de pellets par heure, selon la puissance et la température choisie.

Concrètement, un sac de 15 kg dure de 10 à 30 heures d’utilisation.

Et comme les pellets coûtent bien moins cher que le mazout ou l’électricité, l’économie est vite

visible sur la facture.

Oui. Les pellets sont fabriqués à partir de sciure compressée, un sous-produit de scierie recyclé.

Ils brûlent proprement et leur bilan CO₂ est neutre, car le bois rejette à la combustion le CO₂ qu’il a

absorbé pendant sa croissance.

C’est une énergie locale, renouvelable et durable.

Oui, c’est même très courant.

Dans la plupart des cas, on installe un tubage en inox à l’intérieur du conduit existant. Ce tube

assure une évacuation parfaite des fumées et protège la maçonnerie contre la chaleur, la

condensation et la suie.

Le poêle s’y raccorde ensuite facilement : on garde le charme d’une cheminée, mais avec la

technologie, le confort et le rendement d’un poêle moderne.

Ce n’est pas une obligation, mais c’est fortement conseillé.

Installer un poêle à pellets demande de respecter plusieurs critères : bon tirage, conduit adapté,

arrivée d’air correcte et réglages précis pour garantir sécurité et rendement.

Chez Mister Pellets, il est possible d'acheter un poêle seul ou d'opter pour une installation complète par nos équipes agréées.

Dans ce cas, on s’occupe de tout : tubage, installation, mise en service et réglages.

🔥C’est la solution la plus sûre pour profiter d’un poêle conforme, performant et couvert par la

garantie.

Pas toujours, mais il le devient dès que le conduit existant n’est plus adapté ou ne répond plus aux

normes d’étanchéité et de sécurité. En Wallonie, le Service public recommande de tuber tout conduit ancien ou maçonné lors de l’installation d’un poêle à pellets.

Ces appareils produisent des fumées plus froides que les anciens foyers à bois : sans tubage, cela

peut provoquer de la condensation, de la corrosion et des refoulements de fumée.

Même lorsqu’il n’est pas obligatoire, le tubage est vivement conseillé, car il garantit la sécurité, la

performance et la conformité vis-à-vis de l’assurance.

📣 En cas de sinistre, un conduit non adapté ou non tubé peut compliquer, voire bloquer, une

indemnisation.

Le poêle à bois, c’est la chaleur brute et authentique.

Pas d’électricité, pas d’électronique, juste le feu, la bûche et le crépitement.

C’est aussi la solution la plus indépendante, idéale en zone rurale ou en cas de coupure de courant.

Et côté ambiance… rien ne remplace un vrai feu de bois.

Il chauffe surtout la pièce principale, et parfois les pièces voisines si la maison est bien ouverte.

Pour chauffer plusieurs étages ou zones, il vaut mieux prévoir un poêle canalisable ou une

installation complémentaire. Une analyse sur place est nécessaire pour mettre en place ce genre de solution.

Oui, il existe des aides régionales en Wallonie et à Bruxelles pour l’installation d’un poêle à pellets

performant.

En Wallonie, la prime est accessible uniquement après la réalisation d’un audit logement effectué

par un auditeur agréé.

Cet audit détermine les travaux prioritaires et permet d’introduire la demande de prime.

Le montant varie selon les revenus du ménage et le rendement du poêle, comptez généralement entre 160€ et 960 €.

En Région de Bruxelles-Capitale, les primes pour les poêles à pellets sont actuellement suspendues.

Le dispositif pourrait évoluer, mais il n’existe pour le moment aucune aide active, en raison de la

situation politique régionale.

Toujours du bois sec, avec moins de 20 % d’humidité.

Privilégie les feuillus durs comme le hêtre, le charme ou le chêne : ils brûlent plus lentement et

dégagent plus de chaleur.

Évite les résineux ou le bois traité, qui encrassent rapidement le conduit et risquent de laisser une odeur peu plaisante.

Oui, le ramonage est obligatoire au moins une fois par an, que ce soit pour un poêle à pellets ou à

bois.

Il garantit une bonne évacuation des fumées, prévient les risques de feu de cheminée et maintient

le rendement optimal de l'installation.

C’est aussi une exigence légale et d’assurance : en cas de sinistre, un certificat de ramonage à jour

peut être demandé.

Chez Mister Pellets, nous réalisons le ramonage lors de l’entretien annuel et remettons une

attestation officielle, à conserver comme preuve pour l'assurance.

D’abord, il faut vérifier le niveau de pellets, le câble d’alimentation et le fusible.

Si tout est en ordre, le problème vient souvent de la bougie d’allumage ou d’un capteur encrassé.

Dans ce cas, notre équipe pourra diagnostiquer la panne rapidement et réparer ou remplacer la pièce problématique.

Un léger bruit, C'est surement le ventilateur qui diffuse la chaleur.

Mais si le son devient fort, irrégulier ou métallique, il faut faire vérifier la vis sans fin ou le moteur.

Un entretien complet suffit généralement à résoudre le problème.

Un poêle de qualité bien entretenu dure 15 à 20 ans sans souci.

La clé, c’est la qualité des pellets, un nettoyage journalier du creuset et un entretien régulier.

C’est un vrai investissement long terme pour ceux qui en prennent soin.

Les sacs de 15 kg sont pratiques et faciles à stocker.

Le vrac est plus économique, mais il faut un silo ou un système d’alimentation adapté.

Pour un usage domestique classique, les sacs restent la solution la plus simple. Le pellet en vrac craint plus l'humidité, il faut donc des précautions complémentaires.

C’est souvent lié à un tirage insuffisant ou à un conduit encrassé.

Un ramonage ou un réglage du ventilateur règle généralement le problème.

Si la fumée persiste, il vaut mieux couper le poêle et faire vérifier l’installation.

Un poêle à pellets ne fonctionne que avec des granulés de bois.

Il n’est pas possible d’utiliser d’autres combustibles comme des copeaux, des noyaux d’olive, du

maïs ou des bûchettes compressées : cela pourrait endommager le mécanisme, boucher la vis sans

fin et annuler la garantie.

Il est conseillé de toujours garder un sac de réserve à portée de main, surtout en hiver car sans pellet il ne faut pas allumer le poêle.

Oui, c’est recommandé, voire indispensable selon le type de logement.

Un poêle à pellets consomme de l’air pour la combustion : sans arrivée d’air, la pièce peut se mettre

en légère dépression, ce qui réduit le tirage et peut créer des refoulements de fumée.

L’arrivée d’air peut se faire directement via l’extérieur (à travers le mur derrière le poêle) ou, dans

certains cas, via un vide ventilé ou un garage attenant.

Cette solution assure un bon équilibre entre combustion, sécurité et rendement.

Nos installateurs vérifient toujours les conditions de la pièce et prévoient, si nécessaire, une prise

d’air adaptée au modèle et au type d’habitation.

Un poêle étanche est totalement indépendant de l’air intérieur : il prélève l’air nécessaire à la

combustion à l’extérieur du bâtiment grâce à un conduit spécifique.

C’est la solution idéale pour les maisons modernes ou très bien isolées, car elle évite toute

dépression dans la pièce et garantit un rendement stable.

Un poêle non étanche, lui, utilise l’air présent dans la pièce.

Il convient parfaitement aux habitations plus anciennes ou moins hermétiques, où le

renouvellement d’air est suffisant.

Les deux fonctionnent très bien : tout dépend de la configuration du logement et du niveau

d’isolation.

Les nouvelles normes écologiques tendent à favoriser le poêle étanche.

Certains signes ne trompent pas :

- L’allumage devient plus lent ou échoue de temps en temps.

- La vitre s’encrasse plus vite qu’avant.

- Le poêle fait plus de bruit (ventilateur, vis sans fin).

- Une légère odeur de fumée ou une baisse de chaleur.

- La consommation de pellets augmente sans raison.

Ces symptômes indiquent souvent un encrassement ou un réglage à corriger.

Un entretien complet (nettoyage, vérification des capteurs, contrôle des joints et du tirage) permet

de retrouver un fonctionnement optimal et d’éviter la panne ou l'incendie.